Recherche / EHS

Colloque des 29 et 30 avril 2011

 


Le projet de recherche « L’entreprise, formes de la propriété et responsabilités sociales » s’est conclu par le colloque des 29 et 30 avril 2011.

Vendredi 29 avril (9h-18h) : Quatre perspectives sur l’entreprise

Présentations des résultats des travaux de recherche - réponses des chercheurs invités

  • L’entreprise et la personne : La conception de l’homme comme « personne » permet de rendre compte de l’entreprise comme un « collectif ». Ne devrait-elle pas imposer des limites aux prérogatives des « personnes morales » ?
  • L’entreprise comme dispositif de valorisations croisées : Comment articuler dans un juste équilibre les trois systèmes de valorisation qui fondent l’entreprise : valorisation de l’entreprise par le marché financier, des produits par les clients, et du travail par le management ?
  • L’entreprise comme dispositif d’action collective : Entre le contrat de société et les contrats de travail, peut-on penser de nouveaux « contrats collectifs » qui donnent une personnalité juridique à l’entreprise ?
  • L’entreprise comme pouvoir à constitutionnaliser : En s’internationalisant, les grandes entreprises deviennent des systèmes de pouvoir qui échappent au contrôle des États. Peut-on penser une « constitutionnalisation » de leur pouvoir ?

Samedi 30 avril (9h-13h) : Table ronde

Discussion des propositions issues du séminaire de recherche avec des responsables d’entreprises

Présentation des propositions :

Débat autour des propositions, animé par Philippe ESCANDE, éditorialiste aux Échos, avec la participation de :

Gonzague de BLIGNIERES (Président Barclays Private Equity) – Antoine FREROT (PDG Veolia Environnement) – Louis GALLOIS (CEO EADS) – Jean-Christophe LE DUIGOU (Conseiller à la CGT) – Jean-Jacques PIETTE (Membre du conseil stratégique de la confédération des syndicats allemands DGB)

Programme du colloque conclusif, avril 2011

Ils en parlent dans la presse

A qui appartient une entreprise ?

La “grande déformation” de l’entreprise par la pression financière