LANGUES BIBLIQUES
164 - Grec 4 : atelier de lecture et traduction
En raison de la situation sanitaire, à la demande du professeur, ce cours sera donné uniquement à distance sur une plateforme de visioconférence. Les étudiants inscrits recevront du professeur toutes les informations utiles pour la connexion.
Séances
Vendredi de 14h15 à 16h15 - 9 séances
Premier cours : vendredi 2 octobre 2020
Langues bibliques
Ce cours rassemblera l’ensemble des inscrits lors de la première séance.
À l’issue de cette séance, le professeur répartira les inscrits dans deux ateliers :
L’atelier 1 est destiné aux étudiants qui viennent du cours de grec niveau 3.
L’atelier 2 est destiné aux étudiants qui ont déjà suivi le cours de niveau 4 (atelier de lecture et traduction en 2018 - 2019) ou équivalent dans un autre établissement.
Chaque atelier se réunira en alternance, une semaine sur 2, au même horaire.
Un calendrier des 9 séances de l’année sera remis lors de la première séance par le professeur, pour chaque atelier.
Lors de l’inscription, NE PAS PRÉCISER quel atelier sera le vôtre.
Le nombre de places étant limité, il est fortement recommandé de s’inscrire à ce cours AVANT la rentrée.
Atelier 1 (9 séances, tous les 15 jours) : La Lettre aux Romains
Cette épître — la plus longue et la plus riche — nous convainc de la spécificité du ministère de l’apôtre des Nations et nous initie aux importantes propositions théologiques qu’il formule toujours avec force sur les thèmes qui lui tiennent à cœur : le sacrifice de la Croix, la foi et la loi, la justification et la grâce, la loi de l’Esprit qui donne la vie, la loi du péché qui donne la mort. Après des chapitres d’une exigence absolue, les dernières pages, lumineuses, rayonnent de l’amour de Dieu et de « la vie nouvelle » qui nous est offerte à tout communiant les uns avec les autres, dans la paix et la joie.
Atelier 2 (9 séances, tous les 15 jours) réservé à ceux qui ont déjà suivi l’atelier 1 :
Joseph – Genèse 37 - 45 Joseph, petit roman biblique, « véritable joyau de l’art narratif ». Après la montée du mal — faute d’Adam, crime de Caïn, méchanceté proliférante —, Joseph vient inverser cette dynamique et clôt la Genèse. Au premier abord, on peut croire à un simple conte. Pas de discours d’enseignement, mais un enchaînement d’actes face à des situations typiques, cruelles et transposables dans notre temps. Le lecteur scrutera le texte avec minutie pour déceler le mal jusque dans ses apparences les plus trompeuses et comprendre l’agissement de l’homme « juste », fidèle, intelligent et miséricordieux que de nombreux Pères de l’Église ont cru voir comme une préfiguration du Christ.