Mardis des Bernardins

TEMPUS FUGIT


Secondes, minutes, heures, irréversibles et insaisissables... pour accompagner la chaire Laudato si’ et Tempus fugit, le premier opus du Festival des Bernardins, les débats du mardi soir vous invitent à échanger et penser celui qui nous échappe au quotidien: le temps !

 

Tempus fugit… En liaison avec la chaire de recherche Laudato si’. Pour une nouvelle exploration de la terre, le premier opus du Festival des Bernardins s’arrête sur la fuite du temps, inexorable. À cette occasion, les débats des Mardis des Bernardins reçoivent l’historien Grégory Quenet, titulaire de la chaire Laudato si', l’artiste Vincent Chevillon et le chef d’orchestre Mathieu Herzog, invités de cette première édition du festival. Un échange prometteur entre un historien chercheur et deux artistes pour penser le durable, échapper au court terme et demeurer attentif aux transformations silencieuses. 

La soirée débutera par une œuvre musicale inédite : le Poème symphonique pour 100 métronomes, composée par György Ligeti en 1962. Chaque métronome possède son rythme, son temps, sa durée de fonctionnement : leurs battements illustrent les temporalités individuelles mais aussi son expression collective, et viennent interroger notre rapport au temps.